REFONTE DE LA FILIERE

Protection, santé, sécurité, temps de travail des sapeurs-pompiers :
« J’Accuse…! »

– les gouvernements successifs depuis 2001 de ne pas avoir pris en considération la réglementation européenne en matière de protection, de santé et de sécurité au travail des sapeurs-pompiers ;

– les gouvernements successifs depuis 2001 d’avoir ainsi mis en danger délibérément les sapeurs-pompiers professionnels dans le cadre d’un temps de travail incompatible avec les exigences minimales de sécurité ;

– les lobbies internes à la profession de mentir sur ces sujets et d’être les relais des acteurs politiques qui ont décidé d’enfermer notre soi-disant modèle de sécurité civile dans une stricte logique comptable !

Refonte destructrice de la filière sapeurs-pompiers :

« J’Accuse…! » également :

– la coalition syndicalo-associative DASC (CFTC-SNSPP, FO, UNSA, CFE CGC avenir secours, FNSPF) autoproclamée majoritaire, de détruire la filière des sapeurs-pompiers professionnels à une seule fin comptable, l’effort de maitrise des dépenses publiques étant la clé de voute de cette réforme inique !

– les représentants d’Avenir Secours de cacher le désastre qu’ils ont consenti par compromis sur le dossier de refonte de la filière des sapeurs-pompiers qui travaillent « bottes aux pieds », dans le but de mieux assoir les privilèges de certains sapeurs-pompiers Avenir Secours «qui ne font rien » ! (cf. communiqué Avenir Secours, CNSIS du 14 décembre 2012)

– le gouvernement, le Ministre VALLS, de nous avoir délibérément et honteusement menti, en affirmant que la clause de revoyure devait permettre à l’intersyndicale majoritaire CGT-CFDT-FA/SPP-PATS associés à SUD de revoir les nombreux écueils générés par une refonte inaboutie et incohérente.

« J’Accuse…! » enfin :

– le Président de la CNSIS et certains élus y siégeant, la DGSCGC, des dirigeants de SDIS, les syndicats inféodés de désigner coupable la Fédération Autonome SPP-PATS de vouloir casser les attributions de logements par nécessité absolue de service aux seuls sapeurs-pompiers qui travaillent « bottes aux pieds » et ce, malgré la règlementation nationale en vigueur qui l’autorise ;

– le Président de la CNSIS et certains élus y siégeant, la DGSCGC, des dirigeants de SDIS, les syndicats inféodés de désigner coupable la Fédération Autonome SPP-PATS de vouloir casser les gardes de 24 heures pourtant conformes à la règlementation européenne.

– le Président de la CNSIS et certains élus y siégeant, la DGSCGC, des dirigeants de SDIS, les syndicats inféodés de désigner coupable la Fédération Autonome SPP-PATS de vouloir faire respecter le droit européen relatif à la protection, la santé et la sécurité de tous les sapeurs-pompiers.

 

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