Le contentieux portait sur la prise en compte de leurs temps de travail supplémentaire impayé.

« J’appelle cela un jugement politique, proteste Xavier Boy, porte-parole du syndicat des autonomes SPP PATS à l’origine de l’action en justice. Cela, pour éviter de faire tache d’huile, sachant que beaucoup de Sdis se sont trouvés en dehors des clous sur ce sujet. Je ne comprends pas à quoi servent les limites si, dès lors qu’elles sont dépassées, on ne considère pas qu’il y a eu préjudice. »

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