Sous cette nouvelle ère de reconnaissance, nombres de sapeurs-pompiers souhaitent évoluer et faire grandir notre SDIS. Tirer les agents vers le haut ne peut que débloquer une situation saturée pour un trop grand nombre d’acteurs, qu’ils soient « sapeur ou contrôleur général ».
Il semble persister chez certains une forme de délation et de désinformation (que nous pouvions subir sous notre ancienne direction) qui ne sert en rien l’intérêt collectif et encore moins l’intérêt individuel.
Fort de notre exemplarité, les Autonomes s’attachent à faire reconnaître leurs droits à chaque agent du SDIS, adhérent ou non, pour que cet intérêt collectif en perdition depuis de trop nombreuses années ne tombe aux oubliettes… Il est certain, au risque de décevoir une poignée d’indignés, que nous n’accepterons aucun faux, pour arriver au but final :
De la cohérence entre grade et fonction réellement exercée
La reconstruction passe inéluctablement par des phases de concertations, d’échanges, de combats mais elles ne doivent pas occulter la situation que subissent les acteurs de terrain.
- La refonte de notre filière, nous y sommes profondément opposés !
- Les passe-droits, nous nous y opposons !
Que dire des CDD, derniers recours que nous avons obtenu, faute de candidats à l’embauche pour notre département. Ce désamour pour notre SDIS ne peut pas compatir de frustrations personnelles car c’est bien la qualité opérationnelle supportée par les acteurs de terrains moins nombreux mois après mois qu’il faut défendre ! S’offusquer de la création de CDD sans dénoncer l’utilisation abusive de certains SPV ni le fait de déroger volontairement à la réglementation en vigueur pour pouvoir monter des gardes SPM est plus que douteux…À qui veut-on faire avaler la couleuvre ? Pas aux Autonomes !
Pour un service public de qualité, la reconnaissance de l’investissement opérationnelle, nous continuerons notre combat dans l’intérêt collectif mais n’occultez jamais que vos représentants sont avant tout des sapeurs-pompiers opérationnels, non déconnectés des réalités de terrains.
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